L’air que nous respirons chaque jour est altéré par des polluants d’origine naturelle et d’origine anthropique (ce qui est dû aux activités humaines) : les particules fines, les oxydes d’azote, l’ozone présentent un danger immédiat pour notre santé.
D’autres rejets que nous produisons ont un effet visible dans des phénomènes météo d’amplitude inhabituelle et, à plus long terme, dans les changements climatiques. Ce sont essentiellement le CO2 (dioxyde de carbone) et le méthane qui génère un effet de serre qui s’ajoute fortement à l’effet naturel depuis le début de l’ère industrielle.
Des organismes intergouvernementaux tels que le GIEC qui dépend de l’organisation météorologique mondiale et du programme des Nations Unies pour l’environnement, publient périodiquement des rapports alertant les États sur la nécessité de réduire nos rejets dans l’atmosphère si, selon leurs projections, on veut limiter l’augmentation de la température du globe à 1,5° en 2100. Les pays de l’ONU essaient de se mettre d’accord sur les actions à mener au cours de réunions mondiales où le consensus a beaucoup de mal à apparaître.
De fortes controverses sont apparues avec les scientifiques qui reprochent à l’ONU de se focaliser sur les émissions anthropiques et de négliger des causes potentielles d’origine solaire et spatiale dont l’impact serait loin d’être négligeable.
Le dossier qui suit essaie de faire un point de situation prenant en compte cette problématique car, si ces hypothèses s’avèrent exactes, il faudra diminuer les émissions de gaz à effet de serre dues aux activités humaines beaucoup plus fortement pour tenir les objectifs de ne pas dépasser +1,5° en 2100.
Quoi qu’il en soit, améliorer la qualité de l’air extérieur en diminuant nos rejets dans l’atmosphère reste une absolue nécessité.
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