Une piste prometteuse pour la connaissance fine de notre environnement immédiat : les MICRO-CAPTEURS. Trente équipes de chercheurs ont partagé leurs expériences lors d’un colloque « capteurs et sciences participatives » à la Sorbonne.

En rappel : le Projet Captothéque d’ATMO mis en oeuvre à Grenoble, pour lequel nous sommes partants. Il  fonctionne par prêt gratuit de capteurs de mesure portatifs à des habitants demandeurs. Ces expériences de participation citoyenne autour de la qualité de l’air, qui se multiplient sur de nombreux territoires, seront enrichies et confortées par les progrès technologiques, la miniaturisation des matériels et l’évolution de l’environnement informatique. On peut rêver que demain ces capteurs seront dans nos smartphones !?

Outils d’aide à la décision personnelle, ils donneront aussi la possibilité d’interpeller les élus (parfois autistes sur ces sujets) sans recourir à des manifestations de rue ou à des réalisations de grafs sur des édifices publics !

Colloque « capteurs et sciences participatives », lien vers synthèse publique.

Carte exposition à la pollution atmosphérique en 2018